Klaus
Meine : chant
Rudolf
Schenker : guitare
Uli
Roth : guitare, chant
Francis
Bucholtz : basse
Rudy
Lenners : batterie
On
peut dire que Scorpions revient de loin ; après l'échec de
leur premier album « Lonesome crow » (plutôt dans un
genre rock psychédélique mais loin d'être une réussite, un album
atypique dans la carrière du groupe) Scorpions explose et seuls
restent Klaus Meine et Rudolf Schenker ; coup de chance ils
proposent à Uli Roth(grand fan de Hendrix devant l'éternel) et
d'autres musiciens d'un autre obscur groupe allemand Down Road de se
joindre à eux et c'est reparti...pour la carrière qu'on connait.
Avec
sa nouvelle formation Scorpions amorce sa métamporphose d'un rock
planant/psychédélique vers un rock hendrixien mélé de ballades et
de hard rock 70's.
Et
en effet après des années de galère la formation peut enfin se
stabiliser : le brillant Michael Schenker est parti chez UFO
mais il a été remplacé par un autre brillant guitariste (dans un
style différent) Uli Roth et Scorpions peut dès lors vraiment
dès lors prendre son envol définitif. D'ailleurs dans les années 70 le parallèle qu'on peut faire entre les carrières de Scorpions et de UFO est assez étonnant.
« In
trance » est le troisième album de Scorpions (et premier
produit par Dieter Dierks leur producteur fétiche) qui augmente le
niveau disque après disque, et là on gravit encore une grande
marche par rapport à « Fly to the rainbow » déjà plein
de promesses mais avec encore pas mal de défauts.
Pour moi avec « In Trance » c'est le début de la grande époque de Scorpions, l'âge d'or créatif du groupe (1975-1980).
Je le place dans le top 4 du groupe avec « Virgin Killer », « Blackout » et « Lovedrive « même s'il est avant tout un disque de transition entre le début planant et psychédélique de Scorpions (hendrixien) et les albums plus hard à venir (« Virgin killer » et « Taken by force »).
« In trance » est très diversifié, avec de très bons morceaux, quelques classiques du Scorpions 70's « Dark lady », « In trance », « Robot man ». Le duo R.Schenker / U.Roth fonctionne bien.
Ce dernier montre qu'il est un grand guitariste (mais un piètre chanteur, heureusement il ne chante que sur deux titres ; sur « Dark Lady » passe encore mais sur « Sun in my hand » c'est horrible).
On trouve déjà des balades de qualité « Life's like a river » (magnifique) , « Living and dying » (sublime) et « Evening wind ». Oubliez les slows sirupeux des années 80 et écouter les ballades de « In Trance » largement supérieures.
Trois perles auxquelles on peut rajouter « In trance » (le morceau), quatrième titre cool, mi ballade mi morceau hard.
« Top of the bill » me plaît moins avec une guitare qui vous électrifie mais où malheureusement Meine force trop sa voix.
Pour le reste il montre qu'il est l'un des plus grands chanteurs du hard toute période confondue.
Sur cet album le groupe digère relativement bien ses sources d'inspiration : hard rock classique, rock planant et influences hendrixiennes, sans oublier évidemment les ballades . Une alchimie déjà bien en place.
Hormis « Robot man » on constate que c'est sur les titres cool que le groupe est le plus à l'aise même si « Dark lady » qui ouvre l'album est plutôt intéressant.
On finit par un instrumental correct sans plus « Nights lights »
Du très bon mais aussi un peu moins bon, un album plein de qualités mais un peu trop inégal. Dommage mais la balance est néanmoins largement positive.
Pour moi avec « In Trance » c'est le début de la grande époque de Scorpions, l'âge d'or créatif du groupe (1975-1980).
Je le place dans le top 4 du groupe avec « Virgin Killer », « Blackout » et « Lovedrive « même s'il est avant tout un disque de transition entre le début planant et psychédélique de Scorpions (hendrixien) et les albums plus hard à venir (« Virgin killer » et « Taken by force »).
« In trance » est très diversifié, avec de très bons morceaux, quelques classiques du Scorpions 70's « Dark lady », « In trance », « Robot man ». Le duo R.Schenker / U.Roth fonctionne bien.
Ce dernier montre qu'il est un grand guitariste (mais un piètre chanteur, heureusement il ne chante que sur deux titres ; sur « Dark Lady » passe encore mais sur « Sun in my hand » c'est horrible).
On trouve déjà des balades de qualité « Life's like a river » (magnifique) , « Living and dying » (sublime) et « Evening wind ». Oubliez les slows sirupeux des années 80 et écouter les ballades de « In Trance » largement supérieures.
Trois perles auxquelles on peut rajouter « In trance » (le morceau), quatrième titre cool, mi ballade mi morceau hard.
« Top of the bill » me plaît moins avec une guitare qui vous électrifie mais où malheureusement Meine force trop sa voix.
Pour le reste il montre qu'il est l'un des plus grands chanteurs du hard toute période confondue.
Sur cet album le groupe digère relativement bien ses sources d'inspiration : hard rock classique, rock planant et influences hendrixiennes, sans oublier évidemment les ballades . Une alchimie déjà bien en place.
Hormis « Robot man » on constate que c'est sur les titres cool que le groupe est le plus à l'aise même si « Dark lady » qui ouvre l'album est plutôt intéressant.
On finit par un instrumental correct sans plus « Nights lights »
Du très bon mais aussi un peu moins bon, un album plein de qualités mais un peu trop inégal. Dommage mais la balance est néanmoins largement positive.
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